mariposa

mariposa

la caisse primaire, le barillet

il y a , une énorme différence de poids entre un miroir de 200mm et un de 300mm !! bien que je n'ai pas de balance pour peser quoi que ce soit !  le barillet devra etre construit en conséquence. il va exercer des flexions sur les profilés alus ainsi que sur le système de soutient latéral. ces flexions ne sont pas spécialemenet visibles à l'oeil nu, mais des tests avec un laser de collimation mettent bien ces flexions suiavnt l'orientation  horizon/zénith du telescope. si flexion il y a, la collimation n'est plus la même suivan cette orientation .... c'est pas bon ....

 

 

 

Un barillet en contreplaqué de 20 ou 22mm pouvait être envisageable mais j'avais envie d'un barillet en alu pour une plus grande rapidité dans la mise en température du miroir qui fait quand même 38 mmm d'épaisseur. Et surtout la non envie catégorique d'y mettre un ventilateur aux fesses….(alimentation, piles, batterie etc….pfffff) . avec un barillet en profilé alu , le miroir « respire », c'était un petit défi pou rmoi et en plus c'est beau !!!

 

Du coup, je laisse de coté un des paramètres interressants des strock : la collimation par le devant de la caisse primaire, je me décide a partir sur la base des barilllets (en acier) décrit par David Kriege dans  son livre  « dobsonian telescopes » . problème lié à la collimation par déerrrière qui augmente l'épaisseur de la cage primaire et donc du rocker/box du fait des molettes qui se trouvbe donc….derrière……

 

mais c'est réalisable, je n'ai pas voulu sauter le pas, voila tout......(alors que cela fonctionne tres biebn sur le 200/1000...)

 

Le profilé alu carré de 11.5 mm me semblai pouvoir faire l'affaire…. Quelques petit tests à la main avec un bout de 40 cm de long me montre bien qu'on arrive à le flexonner un peu , mais bon, il faut quand même y aller de bon coeur, le poids du miroir ne devrai pas exercer autant de force…..on vera que ces résultats de test étaient optimistes …

 

 

Les triangles de soutient du miroir sont des équerres de lit en acier. En effet, ceux-ci correspondent à 2,3 mm près aux calculs effectués avec le logiciel POP. Alors …..

 

Jusqu'à la pause du miroir dans la caisse primaire, tout va bien……

 

Je n'avais pas imaginé que le poids du miroir allait engendré autant de flexion sur le profilé alu et le système de soutient latéral du miroir.

.

En effet un test avec le laser de collimation fait apparaître un déplacement conséquent de celui-ci (5, 6mm)  sur le miroir secondaire suivant l'orientation « haut/bas » de la structure.

Ce qui est ,en première approximation, mis en cause est la rigidité donnée a cette structure par les tiges en fibre de verre.  je mise sur la réduction de la longueur de ces  tiges pour atteindre la longueur focale adequate et sur le fait de remplacer la fibre de verre par du carbone.

 

Il y avait certainement un peu de tout cela et peut  etre des flexions ajoutées dues à la rigidité  contestable de la caisse primaire en ctp de 5 mm…

 

et mes supports latéraux etaient bien faibles par rapport à la pression exercée par le miroir en position basse du télescope :

 

De plus, les points d'appuis latéraux sont à 120°, 90 ° aurai été mieux, de plus, ceux-ci sont un peu frèles par rapport au poids du miroir a soutenir, de plus……

 

Trop de choses déconnent : je refait complétement la caisse primaire dont les cotés passe à 10 mm. le barillet est redéssiné et refait également avec du profilé carré d'alu de  20 X20 et de 1.5 d'épaisseur le barillet. 

   le système de soutient lateral du miroir est fait à la mesure du poids du miroir avec des roulements à bille  qui « touche » le bord du miroir aux point de gravité latéral de celui-ci ( je ne connaissais pas ce paramètre de construction des newton lors de la construction de la caisse primerie 1 ere génération….)

 

Un test pour  vérifier la resistance des profilés alu ,inspiré par une proposition de pierre strock sur le forum webastro:


 j'ai coupé un bout de 20X20X1.5 à la mesure de la largeur de ma caisse primaire intérieure,
ai mis ce bout de carré d'allu en suspension entre deux caisses sur un parterre solide (pas de la moquette quoi) ,
mon laser de collim à la bonne hauteur pour que le point rouge tape la barre d'alu à 2 m à peu près,

sans poids, j'ai fait un point là ou le laser tape avec un feutre,

j'ai ajouter tout ce que j avais de lourd sous la main et qui atteint le poids du miroir + du rab avec un fil de fer.
et vu si le point rouge restais sur le feutre ou pas.

résultat : en tout cas si ça bouge , je ne peux le dire à l'oeil nu. pour vraimment voir j'aurais du y aller au papier millimétré. mince... mais à priori ç'est minime.
le mieux est d'installer un miroir sur le profilé pour permettre au laser de faire un chemin plus long donc une précision plus grande, un mouvement plus accentué du déplacement si il a lieu est donc plus facilement visible, amplifié.

 

 

Cette fois je construit moi-même les triangles de soutient du miroir . ils sont fait de tôle d'alu de 1.5mm collés les uns au autres en 3 épaisseur soit 4.5 mm. C est du solide !

 Un trou au centre de gravité de chaque triangle permet de faire passer juste ce qu il faut de bout de la vis de collimation. Le triangle en lui même repose sur un ecrou qui est collé à la vis. Le triangle peut ainsi etre libre dans ses mouvements. Les points de contact sont fait a partir de taquet d'étagère en plastiue dur blanc. Ceux-ci ont été coupé d'un coté, raccourci et limé en bombe et enfin collé sur les triangles.

Un cercle de plastique orange  coupé dans une chemise porte document permet aux triangles de garder leur positionnement.

 

 

 

La structure du barillet en entiièrement collée/popée. Les triangles de connection entre les barres sont fait dans la même tôle d'alu mais en double épaisseur seulement.

 

 

 

 

 

Un cadre de construction a été utilisé pour maintenir bien en place les profilés , pour garantir sont orthogonalité ainsi que pour vérifier/affiner les découpe. Il ne faut pas qu'il y ai du jeu !

 

Ne pas hésiter à mettre des numéro sur les différentes parties du barillet , numéros qui se retrouvent évidemment sur le plan qu'on aura dessiner à l'echelle 1.

 

 

 

 

 

 

Le systeme des vis de collimation a été fait avec des écrous de raccordement M8 qui sont insérés et collés  à l'intérieur des profilés alu.

 

 

Il faut bien faire gaffe au sens dans lequel on doit faire les opérations sinon, on se retrouve à devoir visser dans des endroits inaccessibles ou à percer alors que le cadre est monté. Il faut absoluement tout percer avant de monter quoi que ce soit. De plus, cela permet d'enlever toute la limaille d'alu de l'intérieur des profilés qui se retrouverait prise au piège, le barillet monté.

 

 Le cadre est vissé aux cotés de la cage primaire par de la visserie inox. Dans un premier temps, je n'ai pas tout sérré à bloc. Après oui. Une petite vérification sera peut etre necessaire tout les  15 000 km ….. serait pas bon qu'un écrou se ballade sur la surface du miroir.  Je n'ai pas voulu les coller aux vis, pour pouvoir, peut etre un jour enlever le barillet, en cas de …..

 

le barillet est « enfoncé » de quelques centimètres  à l'intérieur de la cage primaire pour permettre à cette derniere de reposer sur les tranches de ses cotés plutot que sur les  boutons des vis de collimation.

 

Deux encoches de la taille des 4 doigts des mains ( sans le pouce quoi) ont été faite au niveau de ce renfoncement pour pouvoir avoir un bonne préhension de la cage primaire lorsqu'on la prends de dans le rocker box et/ou posée à terre.

 

C'est un belle pièce  qui demande pas mal de boulot mais dont on est fière …..

 

Il n'y a aucune flexion le miroir posé . c'est super solide.



14/11/2008
0 Poster un commentaire

Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 4 autres membres